Car tout les bardes on écrit des poèmes d'amour

Voilà que sort l'album de dessin où apparet la muse ... Le temps est venu de posé quelques poèmes alors :

Souffle

Toi qui es toujours en mon cœur
Toi que j’attends, ignorant les heures.
Toi qui vie par delà le vent,
Toi qui est par delà le temps :
Revient moi je t'en supplie,
Car pour toi, toujours, je vie.

Patient, j'ai attendu ton âme
Pour toi j'ai chassé de ma lame.
Pourtant sans toi je ne vie,
Pourtant sans ton souffle je ne suis...

Pleinte eternel de mon cœur apeuré,
Peur éternel de mon âme esseulé.
Un jour près de toi ma flamme c'est allumé,
Et pour toujours vers toi mes pensée sont tourné.
A jamais je regarderais vers les ombres,
Et leurs demanderait : "rendez-moi ma marchombre".

Si tu entends ces dires c'est que le vent t'a trouvé,
Pourtant à jamais sur la plage ces paroles son gravées,
Entre des runes elle témoigne de mon amour,
Et invisible aux autres elles seront, pour toi, toujours.

Flamme

Observant le ciel, écoutant le vent, il veille.
Ecoutant l'abysse, jamais il ne sommeille.
Combattant son vice, repoussant sa haine, il vit,
Pour son combat il est l'eternel veilleur,
Attendant sa muse, il espère le bonheur,
Oubliant le temps, guettant sa belle, il survit.

Le monde pour lui n'est pas, il espère, parle au vent,
L'écoulement sans fin, il l'oublie et attend.
Le vent pour lui la cherche, et il fouille les ombres,
Le vent pour lui espère, il se mure dans le silence...
Plus le sable s'écoule, plus il devient sombre,
Mais le vent le maintient, lui apprend la patience.

Pourtant le vent espère, espère porter une voix,
La voix de renaissance, celle de l'être du choix.
Il jalouse l'amour que son ami lui porte,
Il jalouse le bonheur qu'elle seul lui apporte,
Mais il la béni car elle seul le fait vivre,
Mais il la béni car sans elle il est givre.

Le froid, la douce s'approche lorsque sa muse n'est,
Le froid, la mort s'enfuit lorsque sa belle paraît.
Assassin de Fuay, Lâmenoire suit le flux,
Espérant une mort, il détruit le vécu,
Espérant renaitre il s'appuis sur la solitude,
Le vent cherche donc la muse avec inquiétude.

Connaissant les dieux il espère la libérer.
Inconnu du Dieu, il ne peut lui parler.
Se battant vainement, il attaque l'immortel,
N'arrivant à gagner, il se bat que pour elle.

Le Dieu ne l'entend pas, pourtant ses pensés hurlent,
Le Dieu ne l'entend pas, et il garde la belle.
Une voix, un cœur, un espoir perpétuel.
Attendant un corps, une voix, sa flamme brule.

A mon phœnix :

En cette nuit j'ai rêvé, rêver de sentir ton âme,
rêver de voir ton ombre, rêver de toucher tes lèvres.
Pourtant le réveille brisa l'illusion,
Enfonçant échardes, ravivant la passion,
Seul sur mon île, le sourire sur mes lèvres,
Je ressentais pour toi cette eternel flamme.

Pourtant en ce jour j'ai senti ton sourire,
Pourtant en ce jour j'ai vue le vent frémir.
Ton âme est passée sur ce monde
Laissant en moi cette marque profonde.

Toujours ma flamme tu m’éclaireras,
toujours en moi tu survivras.
Par dessus tout j’attends ton temps,
Par dessus tout j'épis ton vent.

Égoïste, toujours, je voudrais voir ta vie.
Amoureux, toujours, je veux que tu souries.
Ces deux avis contraires te laisse ombre et désir.
Ces deux avis contraires, près de moi, te laisse partir.
Je veux que sur mes lèvres tu dépose ton sourire,
Je veux être géni et comblé tes désires.

Dis-moi ce que tu souhaite, dit moi ce que tu veux,
A jamais ton géni, je ferais de mon mieux.
Laisse moi donc tes souhaits toi qui ne peut pas être,
Laisse moi tes désires, j'en ferais raison d'être.

Quelques phrases me traversent et je te laisse en paix :
Que ton rêve devienne monde, que le vent guide tes souhaits,
Répond moi en ce jours que jamais je sois haine.
Revient moi pour toujours, car à jamais je t'aime.

Comments

[Krogan Drad]

Le futur n'est inscrit que dans le temps,
Le futur est un simple rêve, moi j'en parle au vent,
Que pourquoi rêver autre chose qu'une amitié ?
Pourquoi ne pas se contanté d'un simple chose rêvé ?

Une chose est importante mon amie,
Ne t'inquiete pas pour le vent et sourit.

[Mlle pOw]

quelques dizaines de kilomètres... une distance qui pourrait n'être qu'un obstacle à franchir... Mais pourtant il existe une frontière qu'on ne peut dépasser... je m'avance, tu recules. je tend la main, tu tournes le dos. je te demande une explication, tu réponds que tu ne sais pas toi-même. Alors je m'en vais, je me replie dans mon for intérieur, et j'espère. Je rêve. de toi, de nous, de cette vie et de cet amour qui ne cesse de changer de visage pour nous impressionner. Quels sont mes véritables sentiments? je crois les connaitre et en ces mots, je me confesse... libère toi de ta peur, et crois en toi... je ne suis qu'un amoureux transis qui souhaite voir briller cette flamme au fond de toi pour le reste de mes jours...